Le maire de Joinville, Pierre Aubry (divers droite) s’est indigné (notamment lors du conseil municipal du 30 janvier) de ce que de nombreux organes de presse aient mentionné le décès le 24 janvier d’un sans domicile fixe, installé dans une caravane à Joinville, présenté comme étant le premier mort de l’actuelle vague de froid. Selon les services de la mairie, ce qui est confirmé par le Samu social du Val de Marne, l’homme a succombé à des maladies.
Les services sociaux municipaux, ainsi que la Croix Rouge et le Secours catholique, assurent un suivi des personnes qui vivent dans un habitat précaire dans la commune ; elles sont six aujourd’hui, après la disparition d’Henri, qui a été inhumé le 30 janvier à Valenton en présence de quelques élus, d’agents municipaux et de trois de ses compagnons. Toutes ces personnes se voient régulièrement proposer un hébergement (le centre de Joinville le Pont dispose de huit lits). En période de grand froid, ils sont visités tous les jours
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