On sait que, par arrêté du 23 février 2006 le Préfet du Val-de-Marne « constatant le franchissement du seuil
Voir mon article du 12 mars 2006 : Restrictions sur la consommation d’eau à Joinville .
Joinville-le-Pont comme notamment Champigny ou Maisons-Alfort, est concernée avec des dizaines d’autres communes, mais contrairement à Nogent, Saint Maur ou Paris, pour ne parler que des villes contiguës.
La justification liée à l’état des eaux souterraines n’amène pas de commentaire. Selon le BRGM (1/03/2006) « de nombreuses situations fortement déficitaires perdurent à fin février. C’est le cas (…) de la nappe du calcaire de Champigny (en Brie) où une timide recharge semble se manifester. »
Mais pourquoi Joinville est-elle sur la liste ? Selon le Syndicat des eaux d’Île de France (SEDIF), l'eau alimentant Joinville « provient habituellement
En cherchant bien, sur le site du SEDIF on lit cependant « une partie du territoire du Syndicat reçoit également de l’eau de nappe du calcaire du Champigny (puisée aux environs de Melun) par l’intermédiaire de l’intercommunication de Viry-Châtillon ». Une carte – illisible – ne permet guère de conclure précisément, mais elle semble montrer qu’il y a effectivement une connexion de ladite conduite… à l’ensemble du réseau, dont bien sûr Joinville.
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