Le débat sur le projet de traitement du tronc commun autoroutier A4 – A86 s’est avéré un peu compliqué, le 21 novembre au soir à Champigny. En effet, 3 projets, à différents stades d’avancement, concernent la liaison autoroutière. À l’Est, la mise en place de protection phonique pour le quartier du Tremblay est en cours d’études avancées, avant la mise en œuvre. Au centre, la réfection du pont de Nogent vient d’avancer, avec le choix d’un maître d’œuvre et d’un projet, qui va être soumis à enquête publique. Enfin, le projet qui fait l’objet de la présente concertation se situe à l’extrémité ouest de la commune.
Bref, le débat était un peu compliqué à centrer sur l’objet de la consultation, d’autant que les campinois n’étaient qu’une trentaine, tandis que la dizaine de joinvillais et de nogentais s’avéraient plus bavards. Plusieurs riverains se sont inquiétés de l’avancement du projet autour du pont de Nogent, et de sa cohérence avec les travaux envisagés.
Sans se prononcer sur les différents scénarios, le maire de Champigny, Dominique Adenot (Pcf) a considéré que la priorité, en matière d’investissement, devait être donnée à des transports en commun de grande capacité. Son premier adjoint, Christian Fautré (Pcf): estime qu’il faut profiter de l'occasion pour assurer une continuité des circulations douces entre le Tremblay et le Bois de Vincennes.
Considérant que relier les espaces verts, c'est très important, l’opposant Vincent Chriqui (Ump) a surtout mis l’accent sur les protections phoniques, qu’il juge vitales.
On retiendra surtout que Francis Rol-Tanguy, le directeur régional de l’équipement, qui a défendu son projet d’instauration d’un péage urbain dans le
Dominique Adenot, maire de Champigny